Ennui -> FellowshipofthePV -> Yarrow -> Flaoua -> Fsens
ou, version optimisée :
nodata -> ne pas a.v.a.l.e.r -> Flaoua -> Himself/Kangoo
Une nouvelle fois, le monde est petit (top cliché).
Egzbligadzione.
Le blog communautaire FellowshipOfThePV à été l’un des premiers (et rares) à faire un lien vers mon Ennui.
Il se trouve qu’il fait également un lien vers un de leurs amis, dénommé Yarrow.
Yarrow, de son coté, fait un lien vers une dénommée Flaoua.
Flaoua, enfin, dont l’anniversaire a été le sujet de l’une des entrées du site Fsens.
Et il se trouve que je connais d’une école commune le propriétaire de Fsens.
Ca c’était la version courte. Passons à la version longue :
nodata était l’un de mes projets : un site sur Radiohead, pendant ma période de fanitude. C’est bien simple, pour ce qui était des news francophones sur Rh, j’étais le king. *tousse*
Mon concurrent direct était évidemment ne pas a.v.a.l.e.r., qui n’est pas un site bisexuel mais bien le fan-club officiel français du groupe sus-mentionné. La concurrence était amicale, nous fréquentions les mêmes cercles et les mêmes concerts, jusqu’à ce que divers évènements fassent que je m’éloigne tant de nodata et de la communauté Radiohead que des personnes s’occupant du fanclub, il y a trois ans de cela pratiquement.
« Mais quel rapport avec l’âge du capitaine ? », me direz-vous, l’air pantomime.
Simple : Yarrow est le chef de n.p.a., ce qui fait une première coencidence.
Mais continuons le lien : Yarrow connaît Flaoua qui connaît Fsens (et de longue date, de surcroit).
Flaoua, inconnue dans mon cercle même éloigné, ne sert ici, bien malgré elle, que de lien fort pratique ma foi entre Yarrow et Himself/Kangoo.
Car c’est bien de ce dernier qu’il s’agit. Nous nous croisâmes dans la promo 2003 d’une école de multimédia dont je ne citerai pas le nom, autant pour ne pas faire réfléchir à deux fois les employeurs de Himself/Kango que pour la bonne et simple raison que ces empaffés m’ont viré sans vergogne ni raison valable à la fin de la 3e année (sur 4 en tout). Kangoo s’appelait à l’époque Himself, et autant que je puis le déduire par ce que je lis sur son site, il reste, comme toujours, égal à lui-même.
Fin (pour l’heure)
Une réponse sur « Sixdegrees.com, deuxième »
[…] Mes anciens lecteurs (whoever he is) se souviendront sûrement, une larme à l’oeil, de mes deux rapides articles sur le petit monde des blouarghz, et des croisements qu’on y fait avec la vie qu’elle est pas fausse, elle. Le syndrome sixdegrees.com, comme je l’appelais à l’époque, mais ça ne parlera pas aux plus jeunes d’entre vous, surtout si je me mets à parler d’un fameux débat cornélien et sémantique : marquer une personne comme “acquaintance” plutôt que comme “friend” ? […]