First post depuis mon départ de Online pour Llord, après 1 mois de « bon demain soir ‘faut que je fasse le transfert ». Finalement je l’ai fait ce week-end, deux jours avant l’expiration de mon compte Online et en pleine tourmente Llordienne. Entre les serveurs qui plantent, les changements de DNS inopportuns, le domaine principal qui change deux semaines après l’envoi de la requête, mon sous-domaine qui ne se valide que le lendemain, j’ai bien cru ne jamais y arriver… M’enfin, ça explique les nuits courtes et les poches sous les yeux, grmbl.
Ce post me permet de constater que Online=caca, vu qu’ils ne m’affichaient pas la panneau central de pMachine à la connexion, par exemple : temps d’exécution trop longue, je suppose. Pareillement, combien de fois ai-je revalider un post pour qu’il prenne le temps de faire un ping vers weblog(ue)s.com ? Llord, no problème. Gooood. Yonowat ? Amapi.
Franchement, la différence de vitesse entre Online et Llord est telle que j’en viendrais presque à remettre en cause mon passage à WordPress. Incroyable. Le slogan d’Online doit être « You get what you pay for »…
Prochaine étape : passer la maison familiale à la Freebox. Mmmouais. En espérant qu’ils n’ont pas le même slogan qu’Online, donc.
Bientôt en ces terres, un rapport sur ParisCarnet9. Allez, un petit spoiler : c’était bien cool.
Mais pour le moment, no time. Pour preuve : je déjeune devant mon clavier.
Trodboulot tulboulot.