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[titre représentatif]

Temps de lecture / Reading time : < 1 minute.

First post depuis mon départ de Online pour Llord, après 1 mois de « bon demain soir ‘faut que je fasse le transfert ». Finalement je l’ai fait ce week-end, deux jours avant l’expiration de mon compte Online et en pleine tourmente Llordienne. Entre les serveurs qui plantent, les changements de DNS inopportuns, le domaine principal qui change deux semaines après l’envoi de la requête, mon sous-domaine qui ne se valide que le lendemain, j’ai bien cru ne jamais y arriver… M’enfin, ça explique les nuits courtes et les poches sous les yeux, grmbl.

Ce post me permet de constater que Online=caca, vu qu’ils ne m’affichaient pas la panneau central de pMachine à la connexion, par exemple : temps d’exécution trop longue, je suppose. Pareillement, combien de fois ai-je revalider un post pour qu’il prenne le temps de faire un ping vers weblog(ue)s.com ? Llord, no problème. Gooood. Yonowat ? Amapi.
Franchement, la différence de vitesse entre Online et Llord est telle que j’en viendrais presque à remettre en cause mon passage à WordPress. Incroyable. Le slogan d’Online doit être « You get what you pay for »…
Prochaine étape : passer la maison familiale à la Freebox. Mmmouais. En espérant qu’ils n’ont pas le même slogan qu’Online, donc.

Bientôt en ces terres, un rapport sur ParisCarnet9. Allez, un petit spoiler : c’était bien cool.
Mais pour le moment, no time. Pour preuve : je déjeune devant mon clavier.

Trodboulot tulboulot.

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ParisCarnet9

Temps de lecture / Reading time : 3 minutes.

J’y étais déjà allé, il y a… deux, trois mois. A l’époque, pas une très grosse impression : plein de gens qui ne se connaissent pas ou peu, qui cherchent à en savoir plus, ou qui te parlent de la vie des autres qui sont absents. Peut-être est-ce dû au fait que je ne connaissais pas vraiment ceux qui m’entouraient, que j’ai dû partir au bout de 2h, que sais-je, le fait est qu’à l’époque, ça ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable, et je n’ai pas dû marquer beaucoup moi-même. Merci néanmoins à Lunar de m’avoir trouvé à l’époque.

Encouragé par Stéphane et les commentaire de l’édition n°8, je réserve la soirée.
– « C’est quoi ce pot ? »
– « Oh, un truc avec des gens qui tiennent un bl… un site »
– « Ah. »
– « Voilà, oui, un site »
– « Et tu en connais ? »
– « Beuuuuh, pô vraiment, enfin je sais pas, ça dépend qui vient et sur qui j’tombe »
– « … »
– « Oui, bon, ça va, hein »

Surtout que pour le coup, j’étais invité à rencontrer Stéphane, donc bon, je n’y allais pas à l’aveugle.

Arrivé au Hall’s Beer, j’entre et me dirige direct vers le fond. Comme pour la dernière fois, n’importe qui pourrait être blogueur, je ne sais pas trop où me diriger. Pas trop d’monde, y’en a même un qui s’est pris une assiette. Quelqu’un qui mange ne pouvant être foncièrement mauvais, je me dirige par là.

– « Bonsoir, euh, c’est ParisCarnet tout ça? », demande-je à ceux à ma droite.
– « Beuh ouais, ici, là, là-bas »
(bon)

Je m’installe à coté du mangeur, m’annonce poliment.
– « B’soir, chuis… Tiens, Stéphane! »
Le mangeur – car c’était lui – s’interrompt dans sa discussion pour me serrer la main, l’air surpris.
J’accroche sa main de la manière virile qui me caractérise si bien dans les soirées mondaines.
– « Enchanté, chuis Xavier Borderie ».
(silence)
– « Xavier », répété-je.
(regard interrogateur)
– « …du JD… du Journal du Net Développeurs ? », tente-je.
(illumination)
– « Oh, tiens, salut! », répond-il (je paraphrase, hein)

Je m’installe donc coté banquette, d’où je dois dire que, allant ainsi à l’encontre des règles inexistantes du ParisCarnet, je ne bougerai pas de la soirée.
Présentation de mon entourage : à ma droite se trouvent donc Stéphane de U-blog, Ambroise de je ne sais quel blog, et michel_v, dont j’avais utilisé la veille le convertisseur pMachine-Wordpress.
S’ensuivent diverses conversations sur WordPress, U-Blog, les mérites comparés de Loic Le Meur et Howard Reinghold…

Une jeune fille entre dans la salle, pose ses affaires et se lance dans un tour des tables
– « Bonjour, estocade »
– « Pardon ? »
– « Je suis Inès Touquin »
– « Ah, » (connais pô), « mais, euh, c’est formidable, » ok, je passe pour un con, « je suis Xavier Borderie ».
– « De quel blog ? »
– « Euh, de xavier.borderie.net »
(silence)
– « …ou du Journal du Net » (que de net)
Pas convaincue, elle tente de continuer son tour de table puis retourne là où son ses affaires.
Effectivement, le tour des tables (qui est un politesse spécifique au ParisCarnet) n’est pas choses aisée ce soir, tant il y a de gens. Les travées sont occupées par des buveurs, et les tables centrales par des fans de foot/rugby.

Les conversations se font et se défont, et je me trouve à parler avec Hervé de Nous Sommes Innocents et Spoutnik, à évaluer la taille moyenne des zizi des blogueurs (selon moi, inversement proportionnel à celle de son cosmos), etc.

Spoutnik se déplace, Hervé fini aussi par en écouter d’autres, je passe bien une demie-heure à observer la foule qui tente de se déplacer dans les travées encombrées.

Je regarde si j’en reconnais quelques-uns. Ah, tiens, oui, ça ce doit être Frouny (bénissons les gens qui mettent leur photo sur leurs blogs), la troupe #echoes ne doit pas être bien loin… Bon. Des feuilles passent, effectivement je reconnais plus d’URL, mais personne n’a pensé à y coller sa photo, tudiou…

(article pas fini, mais publié quand même…)

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Faire l’acompte

Temps de lecture / Reading time : < 1 minute.

Pas en avance sur un gros papier (euh, deux en fait), je pars dans la froidure post-électorale me chercher une salade à manger à même le bureau (enfin, dans un récipient quand même). En-cas De Faim me paraît la cible idéale : il n’y a personne dans la file d’attente à 12h40. Je farfouille du regard, trouve ce qui m’intéresse et un employé m’interpelle avec sa voix particulière :

E : Bonjour monsieur, que puis-je pour vous ?
X : Euh, une Caracas à emporter siouplé.
E : Très bien, et avec ceci ?
X : Euh, rien, merci.
E : Moutarde ou huile d’olive la sauce ?
X : Euh, huile d’olive, merci.
E : Très bien, ce sera 5€80 monsieur.

Je sors un ticket-resto et fouille mon p’tit porte-monnaie à la recherche de 40 centimes tandis que E rempli mon sac et m’attend. Je pose ticket-resto et monnaie dans la coupelle métallique placée sur le comptoir.

X : Voilà, 6€80.
E : <il regarde mes pièces>
X : …
E : Je vois où vous voulez en venir…

J’l’aime bien lui, il a toujours des tournures de phrase marrantes.

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Indice de retour du printemps

Temps de lecture / Reading time : < 1 minute.

Depuis bientôt deux ans que je travaille à Suresnes, j’ai régulièrement et délibérément choisi de ne pas déjeuner « avé les collègues » pour me prendre un sandwich et m’installer sur le quai, en bordure de Seine, à regarder les péniches plus ou moins vides passer et à nourrir les canards – et accessoirement les prendre en photos. Il y a rarement du monde, et l’endroit est si stratégiquement placé que l’on pourrait presque y bronzer les jours de soleil.

Comme aujourd’hui.

Ce n’est pas forcément la chaleur qui entre dans le train Paris-Suresnes qui indique l’arrivée du printemps, mais bien le nombre de personnes venues s’installer sur MON quai, parfois même à MA place, au mépris total du fait que je suis le seul dans les « mauvaises » saisons à m’y installer et à nourrir les canards. Un simple soleil, et pfffuit, l’endroit est envahi de badauds, cherchant de manière éhontée à grappiller un peu de MON soleil que je ME suis réservé tout au long de mois précédents – où pas un seul d’entre eux n’est venu s’occuper des couin-couins.

Obligé de me dérouter vers une place de troisième zone dont ils n’ont pas voulu (et pour cause, vu l’étron desséché mais néanmoins canin (hopefully) qui réside à proximité), je garde la tête haute, lance la lecture d’un album d’Elysian Fields, fait face au soleil, ferme les yeux et scronch’ mon sandwich crudité-poulet.

Groumpf.

Au printemps, les gens poussent comme des champignons.

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Piqûre de rappel

Temps de lecture / Reading time : < 1 minute.

Pour ceux qui connaissent la miss tout en ne se tenant pas au courant de ce qui lui arrive, je signale à tout hasard qu’elle trime à l’heure actuelle sur sa première journée de passage de Capes.
Toute forme (vocale, maileuse, SMSique…) de soutient ou d’encouragement moral sera j’en suis sûr extrêmement bien reçu en ces temps de disette.
If you know who you are, you (should) know how to reach her.

Ce post vaut aussi pour demain et après-demain, tout comme dans deux semaines quand elle passera cette fois le concours d’agrégation.