« The language, Pirahã, is known as a “one, two, many” language because it only contains words for “one” and “two”—for all other numbers, a single word for “many” is used. »
— in « Language may shape human thought« , Celeste Biever, NewScientist.com
[ via /. ]
En fait, les trolls comptent traditionnellement de la façon suivante : un, deux, trois… beaucoup, et l’on en déduit qu’ils n’ont aucune notion des grands nombres. Parce qu’on ne comprend pas que « beaucoup » peut représenter un nombre. Exemple : un, deux, trois, beaucoup, beaucoup-un, beaucoup-deux, beaucoup-trois, beaucoup beaucoup, beaucoup-beaucoup-un, beaucoup-beaucoup-deux, beaucoup-beaucoup-trois, beaucoup beaucoup beaucoup, beaucoup-beaucoup-beaucoup-un, beaucoup-beaucoup-beaucoup-deux, beaucoup-beaucoup-beaucoup-trois, DES TAS.
— in Le Guet des orfèvres [Men at Arms], Terry Pratchett, p.141.
[ 5 minutes plus tard ] Il fallait s’y attendre, des lecteurs de /. ont déjà repéré la référence. Tant pis, ça m’a amuse quand même, surtout que c’est un des livres que je bouquine en ce moment.
Par ailleurs, j’aime beaucoup le titre de cette news : « Need A New Retina? Look No Further!« .