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How to skin a cat

Temps de lecture / Reading time : 4 minutes.

J’apprends beaucoup sur les chats ces derniers temps.

Contextualisons : une partie de mes amis a décidé de prendre une semaine de congé pour aller au ski, à Avoria’, comme on dit. Ils étaient pressés de partir, comme le prouve cette capture d’écran, et je peux les comprendre.
La semaine en question est celle qui se termine en ce moment même. Ils sont même probablement sur le chemin du retour (pour les chanceux qui ont pris la voiture) au moment même où je tapote ces lignes. Même ? Même.

Le chat, donc. Parmi ces joyeux drilles se trouve un couple de mes amis, qui ont un chat et pas envie de lui payer un forfait ou de le laisser au club Mickey. Solution : le laisser sur place. Problème : il est encore trop jeune pour savoir se nourrir tout seul. Solution : confions-le à des amis qui n’ont pas la chance de partir au ski !
Plus réellement, lorsqu’ils nous ont annoncé leur séjour au ski, nous nous sommes spontanément proposé d’héberger leur boule de griffes poils.

La veille de leur départ, ils sont venus déjeuner chez nous et poser le chat, sa litière et quelques croquettes, et lui dire au revoir. La soirée fut courte, car j’étais éteint et qu’ils devaient se lever à 5/6h (’vais pas les plaindre non plus, oh). Nous avons pu alors découvrir l’animal dans son environnement inhabituel.

Quelques constatations, donc :
– Un chat aime ses maîtres esclaves et son chez lui. Corrolaire : un chat n’aime pas forcément être ailleurs que chez lui, en particulier si les indigènes locaux de l’endroit ne sont pas ses serviteurs. Pas du tout, même.
– Un chat, placé dans un territoire inconnu, peut passer un long moment à inspecter chaque recoin du sol pour être sûr qu’il lui est bien destiné. Ceci fait, il passera le reste de la nuit a explorer le reste de l’endroit (à savoir, diverses étagères, le haut du buffet, le dessus du panier à linge sale, le dessous du lit…). Pour lui, c’est passionnant (je suppose) ; pour ceux qui veulent dormir, c’est un peu stressant. Un peu.
– Un chat peut manifester d’une manière assez vive son besoin de caresses. Assez tranchée, pourrait-on dire. Ca cicatrise encore au moment où j’écris ceci.
– Le chat, même dans son habitat naturel (où il est retourné pas moins de 5 heures après être arrivé chez nous) aime mettre le dawa, particulièrement quand il s’agit de sa litière. Et faire comme si de rien n’était. Après tout, il est chez lui ; si t’es pas content, c’est pareil.
– Si le chat peut se montrer agressif face à de nouveaux esclaves potentiels, il comprend vite où est son intérêt une fois le premier repas servi. Autant il peut être impossible à vivre les quelques heures passées chez l’estranger, autant chaque fois que celui-ci s’est décidé à lui tenir compagnie dans l’appartement de ses maîtres, il n’est pas avare en léchouilles, calins, caresses et ronronnements. On me dit que le labrador de ma famille se vendrait pour une gamelle ; en fait, les chats ne semblent pas moins prostiparépatétiputes que les chiens… La seule différence réside probablement dans le fait qu’un chien sait où réside son intérêt.
– Même après avoir adopté de nouveaux maîtres, le chat reste seul maître de la situation : il ne faut pas le caresser, c’est lui qui se frotte à la main ; il ne faut pas le dépasser, il fera tout pour vous surplomber.
– Passez peu de temps avec lui (45 minutes : nettoyer son bordel quotidien le temps qu’il mange, puis mumuse parce que je ne suis pas rancunier pour un sou), il vous donnera toute son affection. Passez la soirée avec lui (« le pauvre, on ne va pas le laisser tout seul »), il comprendra vite et finira par vous snober, voire se remettre à faire tomber des objets placés en hauteur. Si possible de manière très ostensible. Je vais finir par croire que là où on compte l’âge humain du chien en multipliant ses années de vie par sept, on trouve celui du chat en divisant sa température anale par le même chiffre.
– Si vous venez tout seul, il ronronnera pour vous seulement. Si vous venez à deux, il passera de l’un à l’autre sans arrêt. Je suppose qu’il cherche à convaincre l’un d’entre nous de rester. No such luck, buddy.

Le petit Athanagore Würlitzer* nous en aura donc fait voir des pommes vertes et des mures mûres en quelques heures, au point de nous faire appeler son maître au beau milieu de la nuit, et le faire venir pour récupérer sa sympathique bestiole (non sans avoir rangé prestement les divers ustensiles contondants qui auraient pu servir de Plan B s’il n’était pas venu).
La suite s’est passée sans problème, à venir tous les soirs le voir, être rassuré en entendant son miaou derrière la porte, le nourrir, vider sa litière (ce dont il se chargeait déjà bien de son côté, mais il est trop petit pour tout mettre à la poubelle), passer un coup de balai, pour enfin être récompensé par quelques minutes d’intérêt de sa part, résultant en léchages râpeux, coups de boule affectifs et ronronnements pavloviens.

J’ai toujours aimé les poissons rouges. C’est sympa, un poisson rouge. Je pourrai l’appeler Nemo. Comme le sous-marin. Ouais.

* oui, c’est bien son nom, et il ne le trahit pas : une créature qui n’a pas été « coupée » peut devenir incontrôlable sous certaines conditions.

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En ce doux mois de janvier 2005…

Temps de lecture / Reading time : 3 minutes.

Je viens d’envoyer mes voeux à mes contacts… Je les reproduie ici pour Google, et le genre de personne qui viennent sur mon blog en ayant tapé « exemple discours du témoin mariage » :

Aaaah, nous y voilà enfin, cette bonne vieille nouvelle année qu’elle sent bon la neige fondue (voire inaperçue) et la sueur inéluctablement liée à l’expectativité inhérente aux moult et variées découvertes qui se présagent à l’horizon de 365 jours encore vierges de tout souvenir, où la main de l’homme n’a pas encore posé pied, où tout est possible et rien n’est encore à refaire. Temps présent, j’écris ton nom en lettres capitales fluorescentes sur les plus grands panneaux d’affichage de la capitale!

Ah, chers compagnons d’armes, saurai-je exprimer avec toute la justesse et justice nécessaire par l’occasion l’émotion qui me prend à la gorge et par la main en ces premiers jours de l’anno domini 2005, qui espérons-le ne sera point une annus horribilis mais bien une annus mirabilis, le saurai-je seulement ? L’ampleur de l’évènement est tel qu’il force le respect et mérite que l’on se penche sur sa signification tant pour notre propre culture générale que dans le vain espoir de léguer aux générations futures les connaissances éparses issues de nos quelques années de présence sur Terre.

Car ne nous voilons pas la face, camarades, l’année 2004 est passé tout comme sont passées ses prédécesseuses et, n’en doutons point, passera celle qui s’ouvre devant nous, ne faisant ainsi que confirmer l’inéluctable adage suivant : « Les années passent ». Oui, elles passent, tout comme les modes et les caravanes au cri de Jésus! Profitons, dès lors, du temps qui nous est alloué! Carpe Diem, Seize the day, demain on rase gratis et tout le toutim!

Oui! Je n’en doute plus, mes frères (et soeurs), cette année augure du bonheur pour chacun d’entre nous, de la joie ineffable, des gentillesses non-feintes, des salutations amicales et des expressions de nos sentiments distingués, volontairement crues bien sûr.

Foin de mésententes et autres logorrhées malvenues, mes ami(e)s, par devant vous je le dis et je le requiert : soyez heureux! Aimons-nous les uns les autres, pardonnons à ceux qui nous ont offensés, et évitons soigneusement de résister à la tentation.

Voici donc ma déclaration de souhaits de vœux de bonnes années à vous tous qui avez eu le courage de lire ma prose jusqu’ici : je vous souhaite tout le bonheur et la réussite possible dans les diverses directions que vous comptez explorer cette année, et celles que vous ne savez pas encore que vous explorerez, mais qui se présenterons à vous bien assez tôt j’espère. Joie, santé, amour & amitiés, bonnes bouffes, orgasmes non-simulés et moins de spam. Gloire et fortune à ceux qui en ressentent le besoin. Au moins un sourire par jour, au moins un rire tous les deux jours, au moins un rire aux éclats par semaine, au moins un passage chez le dentiste tous les 6 mois. Que l’avenir vous soit radieux, que vous bronziez agréablement sous ses rayons, et que vous évitiez d’y brûler vos ailes. Que ce[ux|lles] qui ont pris de bonnes résolutions pour les 360 jours à venir s’y tiennent autant que possible. Que les volontés se dépassent, que les murs s’écroulent, que la langue de bois brûle et que le prix du super sans-plomb baisse. Excellente année à vous tou(te)s.

Des vœux par mail, ce n’est pas très personnel,
Mais j’ai dans la tête un visage pour chaque adresse,
Et une sincérité pour chaque visage.
(car, comme le dit le poète,
« Je sais pas qu’est-ce qui s’passe,
T’as ce regard dans ta face « ).

Bien à vous, tous.
Bien à toi qui me lis.

Merry fucking new year to y’all.

Si vous ne l’avez pas reçu, c’est soit que je ne vous connais pas, soit que je n’ai pas votre mail (ou qu’il n’ait pas marché, un peu comme les SMS au premier janvier). Ce post vous est donc également adressé. Bonne année à toi, cher lecteur.

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Wikipedia mème

Temps de lecture / Reading time : < 1 minute.

Les mèmes, ça évite de penser aux problèmes qui nous entourent (enfin, d’en parler surtout). Donc, mème.

Voici le Wikipedia Meme ! Le but du jeu est simple. Vous allez sur WikiPedia, et vous cliquez sur le lien Une page au hasard dans le cadre Navigation sur la gauche. Et vous faîtes ça 5 fois de suite.

Pour moi ça donne :

  1. Nosferatu le Vampire
    Bonne pioche!
  2. Heavy Metal 2000
    Good karma.
  3. 1650
    Mort de René Descartes. Salut, salaam, so long…
  4. GNU compiler collection
    pwnd! I am teh 1337iest r0x0r!
  5. Halotolérant
    J’ai toujours eu un profond respect pour les amibes. C’est mon côté généalogiste.

Autant une telle liste ne peut en rien faire état de qui je suis en tant que personne, autant je pense que sur certains points je dois faire « envie » (dans les limites du possible, s’entend) à un certain nombre de blogueurs tant on y trouve de bonnes références. Et ça, c’est indicateur de qui je suis en tant que personne. Dont acte.

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Playlist mème

Temps de lecture / Reading time : 4 minutes.

Le mème du moment, car il en faut bien et celui-ci ne consiste pas en mettre un GIF animé qui ruine totalement un layout patiemment construit. En même temps, de ce côté, je ne peux rien dire…

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Firefox existe pour tuer la pup

Temps de lecture / Reading time : < 1 minute.

J’aime recevoir les avis de mes lecteurs, ils me permettent d’améliorer mon contenu, et par extension mes connaissances.
Je me fais un plaisir personnel en vous rapportant le dernier avis en date, a propos du petit pratique « JavaScript : détecter un bloqueur de popups« . J’y explique une petite méthode très simple permettant d’indiquer au visiteur que sa configuration ne lui permet pas de voir un popup. Utile donc pour les sites faisant appel à ces fenêtres pour afficher des information légitimes.

Notre jeune ami ne l’a pas compris comme cela :

Message : je chie sur ton détcteur de popup. firefox existe pour tuer la pup et les spywares entre autre ,alors ton détecteur de popup pour m'avertir enfonce toi le

A-t-il compris que j’expliquais comment passer outre les protections anti-popup ? Impossible de savoir, car notre ami, étrangement nommé Desalcon Tete, n’a pas laissé d’adresse mail. Tant pis.