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It’s a connected world

Temps de lecture / Reading time : < 1 minute.

Deux faits qui n’intéresseront que ceux qui baignent dans la folie Web 2.0 :
J’ai J’eu cette semaine pour première voisine Last.fm nulle autre qu’iJustine. Someone please kill me.
– Le web-comic XKCD a mentionné un livre que je suis justement en train de finir – et je suis un peu de son avis.

Et tant qu’à parler de ‘useless trivia‘ de l’intarweb, sachez que mon récent manque de publication en cet auguste lieu, cumulé à l’abrutissement estival de la masse prolétarienne qu’est Secret Story, ont fait que je ne puis plus me vanter d’être le premier ‘Xavier’ dans Google.fr. J’y travaille, mais la concurrence est rude face à la demande incessante de la plèbe. Panem et circensem…

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Laï laï i-hou

Temps de lecture / Reading time : < 1 minute.

Bon petit souvenir de mai dernier…


Tyrolienne avec Matthieu S.

(note : j’ai pas choisi de tourner dans tous les sens. damn hippies)

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21 avril 1977

Temps de lecture / Reading time : < 1 minute.

Aujourd’hui, j’ai trente ans. Même pas mal.


[Je remercie mes parents d’avoir conservé tant de photomatons et photos d’écoles, sans quoi cette phrase n’aurait pu se faire. Je remercie également l’outil Healing Brush de Photoshop, parce que la puberté merci bien.]

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Deux semaines d’illusion

Temps de lecture / Reading time : 21 minutes.

Ca commence comme pour toute drogue, j’imagine : de manière très insidieuse, et par le biais de l’entourage. D’abord, cela a été le fléau qui ravageait l’Amérique et les pays anglo-saxons, a pris l’Asie à la gorge, puis est arrivé en France, et jusque parmi mes compagnons – on finissait par biffer d’un trait rageur ceux que l’on ne voyait plus guère, trop pris qu’ils étaient dans leur paradis artificiel. C’était prévisible et attendu, mais la réalité était là : cela emportait les meilleurs d’entre nous, parfois même sans espoir de retour à une vie « normale ».

Comme trop souvent dans ce cas-là, la curiosité tenaille, mais l’on reste un garçon sérieux – et puis, ça reste trop cher à l’achat, surtout qu’on apprend entre-temps que l’on parle plus de dépenses régulières que d’un simple achat unique. Toutes choses reconsidérées, on s’éloigne de l’idée de connaître le pourquoi du comment.

Puis surgit l’épreuve difficile à surmonter : l’échantillon gratuit. Grand classique, là aussi : convaincu de la qualité du produit, le vendeur propose un petit essai, « tu regardes, tu prends ton temps, si tu aimes, si tu veux recommencer, tu reviens me voir, quand tu veux, je bouge pas. » Ils sont malins…

J’ai pris l’échantillon gratuit. La curiosité était trop forte, et je pensais qu’avec cet exutoire à portée de main, j’y verrais plus clair. Mais, j’ai conservé l’objet pendant de longs mois sans m’en servir, juste en le regardant, en me disant « et si…? » Mais je me disais que c’était idiot, je n’avais déjà pas beaucoup de temps : je ne voyais déjà pas assez souvent mon entourage, mon travail me faisant rentrer trop tard, pour que je perde mon peu de sommeil dans l’illusion que m’offrait cet échantillon, dans ce monde artificiel à portée de main. L’échantillon restait dans son emballage plastique, je n’y pensais quasiment pas, sinon en lisant les nouvelles des ravages que cela provoquait dans d’autres cercles, et les témoignages de ceux qui en sont revenus, et restent en rémission.

L’idée pernicieuse de m’y plonger restait cependant présente, suffisamment pour que je fasse des plaisanteries à son propos, ici et là, innocemment, mais en fait probablement pour chercher une validation quelconque. Bien évidemment, personne ne m’encourageait jamais dans cette voie, et c’est bien compréhensible.

J’ai quand même fini par plonger. L’amour fait accepter beaucoup de choses, et ma douce a fini par comprendre que cet échantillon me tiraillait. Elle a même fini par me pousser à m’en servir, que ce soit fait, que je passe ce cap. De mon côté, je l’assurai que je ne comptais pas y perdre tous sens de la réalité, juste savoir ce qu’il en retourne. Savoir pourquoi. Et pouvoir dire, « j’ai essayé ». Il vaut mieux avoir des remords que des regrets, paraît-il. J’espérais ne rien regretter… C’était en octobre 2006.

J’ai décidé de tout vous raconter. Je n’en suis pas fier, je n’en suis pas totalement revenu, mais peut-être mon expérience pourra-t-elle servir aux autres curieux, et les aider à prendre la bonne décision.
Je suis conscient que je risque de faire plonger ceux qui n’en avait pas entendu parler, de raviver les douloureuses blessures de ceux qui ont réussit à s’en sortir, et d’enfoncer un peu plus dans leurs tourments ceux qui vivent cela au quotidien, par eux-même ou par un proche touché. Je demande à ces personnes de bien vouloir m’excuser…

Je m’appelle Xavier Borderie, et ceci est mon histoire.

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De l’influence d’une semaine de ski sur la couleur de ma peau

Temps de lecture / Reading time : < 1 minute.

La semaine dernière, c’était Tignes-powah, avec ma meilleure moitié et pas un seul morveux français, rapport à l’école qui avait reprit. Us for teh win! En revanche, moult teutons et britons, mais pas assez pour gêner mes glissades habiles en direction de la prochain remontée mécanique.

Donc, bon, qui dit ski, dit « je me rase pour bien cramer de partout ». Et qui dit « je me rase », dit « quelle connerie vais-je bien pouvoir faire avec mes poils avant d’en finir avec eux ? »

Je suis resté assez sobre, en fait, cette fois…

Rasage et bronzage

Conclusion : ma barbe cache un gros menton, apparemment.