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Lalo Borderie

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Je me permet de vous présenter mon premier neveu, Lalo.

Lalo Borderie

Il est né à Paris, le jeudi 4 octobre 2007, à 8h58.
3,7 kg7 pour 52 cm.
Un petit bonhomme pour de grandes responsabilités désormais : mon grand frère Cédric est papa, je suis tonton, notre mère est gaga, notre père surveille tout cela 🙂
La maman se porte bien, et devrait sortir de la Clinique du Bien Naitre lundi.
Le papa a passé plusieurs soirées à boire en montrant la photo de son boudchoux à quand voulait.
Peace and tranquility on Earth.

Yeah !

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Une seule planète vous manque, et le système solaire est dépeuplé

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Cela m’a été confirmé hier soir [la rédaction de cet article a débuté le samedi 25 août] : certains en ce monde ne sont pas au courant de la disparition de Pluton de la carte de notre système solaire. Les implications sont pourtant gravissimes sur le plan des relation inter-galactiques.

Résumons. Pour la majeure partie de cette planète, certaines vérités sont indéracinables, car encrées au plus profond de notre bulbe rachidien par les années de redite via la méthode répétitive dans nos établissements scolaires : ainsi, le Mont Blanc mesure 4 807 mètres, la bataille de Marignan a eu lieu a 1515, et le système solaire comporte 9 planètes.

Tout cela est bien entendu faux, en particulier le dernier point, ce depuis le 24 août 2006 (oh, il y a un an !), du fait de la décision de l’Union Astronomique Internationale (UAI) de réviser sa définition d’une planète, suite à la découverte en 2005 d’un corps céleste, Éris, plus grand que Pluton et orbitant autour du soleil, cette dernière devenant donc le dixième plus grand corps céleste, Éris étant le neuvième. Logiquement, il fallait donc soit faire d’Éris une planète, soit trouver une nouvelle catégorie pour Éris et Pluton.

C’est cette second solution qui a été votée : la catégorie se nomme « planète naine« , et comprend également, outre les deux corps sus-cités, Cérès, le premier astéroïde découvert. De fait, les planètes officielles de notre système solaire ne sont plus qu’au nombre de 8, ce depuis un an tout juste.

Comme quoi les scientifiques savent vraiment se prendre la tête pour des choses essentielles à notre quotidien, hein ? Et comme il est hors de question que seuls les intellectuels certifiés puissent sodomiser des drosophiles en période estivale, le peuple de l’Internet a mis en place des pétitions à l’UAI, genre celle de PleaseSavePluto.org ou encore celle de PlutoPetition, voire sur le classique PetitiOnline… *soupir* Ils sont forts, sur le Net, pour prendre fait et cause pour la moindre option

Mais ce mouvement en faveur du maintien de Pluton au statut de planète n’est cependant pas dénué de sens, et à mon goût repose sur plus que la simple fainéantise face à la nécessité de mettre à jour ses connaissances – ne serait-ce que pour retenir un nom de planète en moins. Non, sincèrement, ce pour quoi je suis inquiet tient à cela :

Moi je peux bouger le bras, pas elle, HAHA !

Les moins cultes d’entre vous ignorent peut-être de quoi il s’agit. This, my friends, est la plaque qui a été placée sur les sondes américaines Pioneer 10 et 11 – ou, plutôt, l’inscription gravée sur une plaque d’aluminium – à destination d’une possible intelligence extra-terrestre venant à croiser le chemin de l’une de ces deux sondes. Lancées respectivement en 1972 et 1973, elles ont aujourd’hui parcouru suffisamment de chemin pour être sorties de l’héliopause (là où le vent solaire est arrêté par les vents stellaires des astres environnants). En gros, un bon bout de chemin parcouru.

Cette plaque, conçue en trois semaines par Carl Sagan (qui a notamment mis en place le programme SETI, et aidé a la vulgarisation de l’astrophysique, un peu comme Hubert Reeves chez les francophones) et Frank Drake, et dessinée par Linda Sagan (femme de), a pour but de donner les informations de base pour permettre de faire comprendre notre existence et notre désir de communiquer.

On y retrouve donc une poignée d’éléments-clefs : taille de l’homme et la femme par rapport à la sonde elle-même, symbolisation de l’atome d’hydrogène (élément le plus présent dans l’univers, et dont la plaque utilise une représentation de sa période de transition hyperfine pour obtenir une mesure appliquée aux autres éléments d’icelle), position de notre soleil par rapport à 14 pulsars, et position de la Terre dans notre système solaire.

Bon, le plan de la transition hyperfine de l’atome d’hydrogène pour obtenir des mesures en centimètres et en années-lumières est suffisamment imbitable pour mon humble personne pour que je doute qu’une intelligence lointaine puisse y entraver guère plus que « bigre, leurs yeux ont des pupilles verticales ! », mais qu’à cela ne tienne.

Faisons fi des préjugés sur les p’tits hommes verts, et portons notre regard, je vous prie, sur une zone particulière de cette plaque.

Boobies!

Non, rhâh, bon sang, j’en étais sûr ! Ah bravo, je vous parle science et kryptonite, et vous ne pensez qu’à télécharger du Tentacle Hentaï plutôt que de lire ce texte, je ne vous félicite pas ! Bon, restez concentrés, s’il vous plaît, voici la zone dont je veux parler :

Satellite envoyé par un pixel ?!?

Si vous n’avez pas de problème avec vos synapses, vous aurez certainement reconnu notre système solaire, avec une grosse flèche pour bien indiquer d’où vient la sonde qui porte la plaque (ce qui n’aura sans doute strictement aucun sens pour toute civilisation n’était pas passée par une période primitive durant laquelle ses membres devaient chasser leur nourriture avec des arcs, des flèches et tout le toutim, mais passons).

Ce que je voudrais que vous compreniez bien, c’est que nous avons envoyé il y a plus de 30 ans une carte de visite avec notre adresse, et que la décision de l’UAI met à terre (haha) toute possibilité de faire le lien entre cette carte de notre coin de l’espace (NEUF planètes, bon sang de bois !) et la réalité (HUIT planètes. Eeeeet trois planètes naines. Ah, oui, et une ceinture d’astéroïdes, oui. Et les anneaux autour de Neptune et Uranus. Et…).

Comment voulez-vous, dès lors, que nous soyons découverts ?! On se donne un mal fou pour faire savoir à l’univers entier que nous ne sommes pas bien grands, même pas habillés, donc certainement mal armés ; mais également que nous sommes assez naïfs pour croire que les autres races de l’univers ne nous veulent que du bien, au point de donner une adresse précise (équivalent spatial du fait de mettre son nom, son adresse perso et son numéro de carte bancaire sur son blog) et d’espérer que tout ira bien ; bref, un mal fou pour dire « si tu me trouves, je suis mort », et maintenant que l’UAI a rendu sa décision, il est fort à parier que les races belliqueuses capables de décrypter un tel charabia devront abandonner toute idée de nous exploiter pour leurs expérimentations médicales une fois qu’ils se rendront compte que nous ne sommes même pas foutu de donner une indication géospatiale correctement, alors que la sonde/carte de visite n’est même pas encore sortie du nuage d’Oort local, nous prenant alors certainement pour un lot de déficients mentaux dont cette sonde est certainement avant tout une bouteille à la mer, jetée dans le maigre espoir d’améliorer leur misérable condition à l’aune d’une race assurément supérieure. Triste sort que le notre, doivent-ils penser. Et on ne peut pas les blâmer.

Bref, encore une occasion de se grandir que les humains ont manquée. Si c’est pas malheureux…

Oooh, bien sûr, je vous vois venir avec vos arguments : peut-être se douteront-ils que la sonde provient du système d’où elle sort à peine, peut-être ne sont-ils pas belliqueux, peut-être même qu’ils ont décidé d’adopter la même définition d’une planète que l’UAI, qui sait ? A cela je dis « peuh ! » J’ai depuis l’an passé abandonné l’idée d’être le Mike Donovan de ces Visiteurs, le David Vincent équipe d’un GPS, le Jayce qui retrouve Audric et élimine enfin les Monstroplantes…

Las, il est des rêves de gloires auxquels l’assemblée générale annuelle d’une organisation non-gouvernementale peut mettre un terme. C’est le cas ici, et il va me falloir partir en quête d’un nouvel avenir où mes capacités naturelles de meneur, mon charisme insensé et ma vision très personnelle de la cuisine andalouse sauront être reconnus à leur juste valeur.

Je ne manquerai pas de vous faire part de mes avancées sur le sujet.

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Try before you sell

Temps de lecture / Reading time : 3 minutes.

Fin novembre 2006, je tombe – je ne plus comment – sur le vidéo-clip pour « If you fail, we all fail », de Fields.

Jeune groupe, son « plein », choriste hippie-yeah, jolies lumières : j’approuve, ma douce également. Nous mettons donc en quête de leur album, afin de pouvoir voir de quoi il en retourne sur le Long Play. Fouillant Amazon.fr et .co.uk, nous ne trouvons que des Extended Play, notamment « 4 From the Village« , sortit en Juillet 2006 – ça faisait donc un moment qu’ils sortaient des chansons, où était l’album ?

L’explication que je trouvais à ce manque de LP se trouvait à mon avis à la télé : grâce à notre Freebouze, nous avions accès notamment à MTV et MTV2, cette dernière faisant la promotion plus précisément de groupes de rocks. Et Zeus sait que nous avons vu quantité de clips de groupes perfidalbions qui n’ont même pas eu l’occasion de passer le Rubicon la Manche.

Le jeu des labels de musique semble donc être une fuite en avant : face au méga-succès (amplement mérité) des Arctic Monkeys là où personne ne donnait un Judka Herpstu de leurs boutons d’acné, les règles classique sont modifiées, et ces labels signent à tout-va des CDDs avec les moindres groupes faisant bouger le pied gauche de l’ivrogne du coin, leur font enregistrer la chanson qui a fait bouger le pied, leur tournent un clip dans la foule (pas trop cher ni trop chiant, typiquement en studio, en concert ou dans un champ), envoient la tout à MTV2 qui passe à longueur de journée ces publicités savonnesque, le tout dans l’espoir infime que plus de 20 personnes se mettent à acheter le single, justifiant un CDD plus long et, enfin, un album. MTV a même une émission dédiée à ce mouvement : Spanking New Music, que si tu reconnais aucun des noms de groupe, c’est normal, ils sont tous inconnus mais leurs producteurs respectifs espèrent fermement qu’ils y aura autant de bouche-à-oreille pour leur poulain qu’il n’y en eu pour, donc, les Arctic Monkeys en leur temps, et oui rassurez-vous je vais bien finir par clore cette phrase, tiens hop.

En résumé : si Fields n’avait pas encore sortit d’album, c’est qu’ils étaient encore en phase de test. Il nous fallait donc attendre quelques mois pour voir s’ils avaient assez ramené de brouzoufs pour justifier plus de temps de studio, où s’ils avaient été lâchés de leur labels, comme tant d’autres avant eux. D’où, mon titre.

Agréable surprise, donc, de recevoir de la part de ma meilleure moitié un lien vers un article des Inrocks, faisant une critique plutôt positive (« …encore très perfectible mais déjà impressionnant… ») de leur album, « Everything Last Winter », dans l’édition de la semaine.

Après, si je puis dire, vient notre tour de faire du « try before you buy »…

Mais l’espoir existe, donc ! Puisqu’il en est ainsi, permettez-moi de faire éhontément la promo d’un autre petit groupe que j’aime qu’est-ce qu’y font, à savoir Blood Red Shoes. Découvert via l’éternelle source de jeunesse qu’est la Blogothèque, j’ai prestement aimé la première chanson+vidéo de ce duo grand-britons. Beaucoup plus proche du son grunge des Hole et Nirvana, que de garage/blues-rock joué par ceux auxquels ont ne manque pas de les comparer (The White Stripes, The Black Keys et The Kills), avec un brin de PJ Harvey pour les intonations de voix la demoiselle (surtout reconnaissable dans le premier clip qui suit). Et, ce qui ne gâche rien, ils sont trop choupinous.

Leur premier clip, donc, présente « You Bring Me Down » :


Blood Red Shoes – You Bring Me Down

Vint ensuite « It's getting boring by the sea », dans la même veine, avec le même réalisateur (mais trop de maquillage, si vous voulez mon avis) :


Blood Red Shoes – It's getting boring by the sea

Enfin, l’exxxxxcellent magazine Tracks en a fait le thème de son live de la semaine, je ne sais trop quand, avec une pitite interview où l’on apprend l’origine de cet excellent nom de groupe, suivit d’une interprétation live de leur autre single, « ADHD », dont le clip est je trouve moins intéressant que ses prédécesseurs, donc nous nous en contenterons :


Blood Red Shoes @ La Flèche d'Or

Voilà donc. Pour voter pour eux, tapez « 1 » après le bip visuel.

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Projet de la rentrée : ne pas aller à Rock en Seine

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[post que j’avais commencé il y a fooooort longtemp, et que je me dépêche de boucler car 1) ‘faut pas gâcher, et 2) ça commence demain 🙂 ]

Je n’ai aucune raison de bouder le festival Rock en Seine. Un vrai festival avec des artistes d’envergure, dans un parc accessible en métro/tramway/voiture, et donc offrant le luxe de rentrer dans son lit à la fin des festivités ou entre deux journées. Le tout, à la fin du mois d’Août, juste avant de devoir se replonger dans Septembre. Festival de luxe, quoi.

Je n’ai d’ailleurs pas boudé mon plaisir, ayant fait acte de présence lors de la première édition, en passant la journée ensoleillée à observer sur la grande scène K’s Choice, Morcheeba, Beck, PJ Harvey et Massive Attack se succèder, et en partant croiser sur la petite scène Keziah Jones qui s’excuse de devoir arrêter-là son show, qu’il pourrait tenir une nuit entière à jouer… Good times.

J’ai ensuite sauté les deux éditions suivantes, malgré des affiches comprenant The Arcade Fire et Franz Ferdinand à leurs débuts, Archive, White Stripes, Sonic Youth ou Hopper, entre autres.

Je ne pouvais par contre pas rater l’édition 2006, en bon Radiohead fanboy que j’ai été : Radiohead, donc, mais également Morrissey pour la miss, Beck, DJ Shadow, Nada Surf, Calexico, Clap Your Hands Say Yeah, Phoenix… Excellente édition, au point que je lui consacrasse un post pour chaque journée : le vendredi et le samedi. Car oui, rapidement le festival est passé à deux jours plutôt qu’un seul, à trois scènes plutôt que deux, à un plus grand espace… Les organisateurs ont bien compris qu’il fallait s’agrandir.

Malgré tout, je n’irai pas à cette édition 2007. Pourtant, avec rien que Tool, Björk et Arcade Fire en tête d’affiche, on pourrait se dire que je me serais précipité sur les billets. Mais non. Pour quelques raisons qui, combinées, font que la pilule passe mal.

– Déjà, le festival se déroule maintenant sur trois jours : vendredi 24, samedi 25, dimanche 26.
– Les trois têtes d’affichent passent évidemment chacune en fin de chaque journée (Arcade Fire le vendredi, Tool le samedi, Björk le dimanche).
– Il y a le même nombre de scènes, donc les journées sont remplies de groupes dont on n’a jamais entendu parler.
– Les « petits » groupes les plus intéressants (Mogwai, Emilie Simon, The Shins, 2 Many DJ’s, UNKLE) se trouvent quasiment tous le vendredi – histoire de motiver les gens à bouffer un RTT pour le festival et participer aux trois jours plutôt que juste les deux du week-end.
– Les deux autres jours disposent de « petits » groupes moins passionnants (The Fratellis, Amy Winehouse (qui a d’ailleurs annulé pour cause de séjour en désintox), Jarvis Cocker, The Jesus and Mary Chain, Erik Truffaz, CSS, Les Rita Mitsouko, Alpha), ou plus inconnus. Samedi est encore plutôt bien achalandé, vu qu’il faut attirer le clampin face à Tool certes bête de scène et de son, mais trop complexe et « métaleu » pour attirer. En revanche, Björk étant assurée de remplir le festival à elle toute seule (comme l’a fait Radiohead en 2006), la journée de dimanche est quasiment dépourvue d’autres groupes intéressants (hors Craig Armstrong et Faithless, allez) – on se paye même une tranche de rockeurs chevelus parisiens qui se lancent (Housse de Racket, Nelson et Rock&Roll), grand bien leur fasse mais sans moi.

Voilà. Tout plein de gens trouveront les « fillers » suffisants pour justifier d’être présent sur les trois jours, moi pas. Cette édition me donne plutôt l’impression que les organisateur veulent se la jouer Eurockéennes avec leurs trois jours de festivals, mais ils ne parviennent pas encore à remplir les grilles horaires aussi bien.

Ainsi, l’édition 2007 des Eurocks amène quand même des fillers plus intéressants, comme Justice (comment RockEnSeine ont-ils pu les rater ?!), Digitalism, Wu-Tang Clan, Olivia Ruiz, I’m from Barcelona, Tryo, Air, The Good, the Bad and the Queen (nouveau projet de Damon Albarn), Laurent Garnier, Abd Al Malik, Stuck in the Sound… Pour rester honnête dans la comparaison, les Eurocks ont aussi beaucoup plus de fillers (5 scènes obligent), et terminent les deux premiers jours à 3h du matin plutôt que le minuit de RockEnSeine. Disons qu’aux Eurocks, y’a toujours un groupe qui peut t’attirer à un moment donné, alors qu’en regardant le programme de RockEnSeine, je vois de looongues plages d’attente.

Bref, j’adore les concerts, mais je vais à nouveau sauter une édition de Rock En Seine, cette fois plus à cause de mon impression de me faire entuber si j’achète mes billets (pas offerts) qu’autre chose.

A l’année prochaine, j’espère.

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Vacances, j’oublie tout, j’engrange des souvenirs

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… – réveils tardifs et souvent difficiles – deux hélènes – casanis – 400d qui tourne à plein régime – plein soleil, zéro nuage – cuisson de mon premier pain (aux sept graines) dans la machine idoine – larvage intense au soleil – lectures collectives de nanards littéraires estivaux autour de la piscine – soirée – trois hélènes – mains et pieds non-sollicités aux fesses des jolies filles – gâteaux, cadeaux pour les 32 ans du grand frère, prochain papa et futur mari – danses – le patron derrière son bar – apérol – techniques anti-hoquet – tatage de ventre de 8 mois – rhum sacrément arrangé – papotages tardifs et couchages encore plus – lecture de magazines estivaux à forte tendance en intellectualisme – sortie annuelle au tropicana – harry potter 7 – écoulement tranquille des journées – sorties en bateau – hamac – plongeons et apnées – repas fraternel avec merveilles détournées – aïoli – bouillabaisse maison, collective et annuelle – retour à porquerolles – hotel surprise – défilé de la libération – feu d’artifice – démonstration de danse – requête avortée de tektonik – soleil – dernier jour – retour – …

Vacances

Déjà fini.