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Tool

Temps de lecture / Reading time : < 1 minute.

(non, je n’ai pas fini mon truc sur la fête de ma musique, mais juste pour dire que)

Ce soir, je traînera mes guètres du côté du Zenith, pour écouter de la musique qui prend la tête par les oreilles : Tool. Découverts via Fabrice et leur album Aenima, ils ont remit le couvert quelques années après avec Lateralus. Je n’ai pas beaucoup écouté leur petit dernier, 10,000 days, mais même s’ils semblent avoir molli du genou, j’ai hâte d’entendre à nouveau la salle vibrer au son de « 46&2 », « Sober » ou même, « Third Eye ». Yeah, I’m OGT.

Trop longtemps que je ne suis pas allé voir un concert qui fait transpirer, je suis un peu impatient, pfiouloulou…

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Chèque chèque chèque ouane tou

Temps de lecture / Reading time : < 1 minute.

Bien, nous nous sommes mis d’accord sur ce que nous allons jouer ce soir, et dans quel ordre.

Setlist pour le 21 juin

Dix-huit titres prévus, plus des bonus si le coeur nous en dit. Si on joue tout, ça nous prendra probablement une heure et quart, mais vu qu’on alterne avec un autre groupe (pour partager l’emplacement et le matos), ça sera plutôt des sets de trois quarts d’heure, plus ou moins.

Reste à récupérer le matos en question (dont le groupe électrogène) et le mettre dans la camionnette, acheter un bidon d’essence et le remplir (pour le groupe électrogène), trouver l’endroit définitif où poser nos guêtres, et jouer en espérant que des gens seront intéressés par nos choix, et prendront autant de plaisir à nous entendre que nous à jouer pour eux (et pour nous, aussi, oh, ‘faut bien).

Un soir de Fête de la Musique n’étant pas complet sans une bonne averse sur le coin de la glotte, et donc les bâches de chantier idoine, je pense que tous les éléments seront réunis ce soir pour que ce soit un peu rock’n’roll.

Scie iou zaire.

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Fête de la musique 2006 : Oyez !

Temps de lecture / Reading time : 2 minutes.

Depuis plusieurs mois maintenant (septembre 2005 pour être un poil plus précis), je tiens la basse dans un groupe de reprises rock, à la fois pour rester dans l’esprit « je fais de la musique » malgré le split lamentable de mon précédent groupe, mais aussi pour me remettre à la basse, délaissée pour la guitare acoustique depuis le split sus-cité.

Sinh Café, donc, est le nom du groupe. Nous sommes quatre. Vous connaissez déjà le bassiste (hint : moi), qui est moyen et vient encore avec ses partoches en répétitions, plusieurs mois après. On trouve aussi Lord Abdul, batteur, qui fait les coeurs à l’occasion ; Vince le guitariste, qui peut tout aussi bien passer au piano, avec une facilité proche du Jonny Greenwood que ça m’énerve ; et Nam, le chanteur, qui n’arrive toujours pas à passer le p’tit riff de « Cant Make A Sound » (mais là je me tais, car j’ai toujours autant de problèmes avec l’intro basse d’ »Are You Gonna Be My Girl »).

Le premier objectif de tout groupe de musique, c’est de faire plaisir à des gens en jouant devant eux. C’est la possibilité que nous offre Jack Lang grâce à sa teuf de la zik, et nous allons donc nous poser dans Paris, en alternance avec un autre groupe des caves du CE Suresnois de Dassault – en gros, on joue notre set, l’autre groupe joue le leur, on rejoue notre set, l’autre hop hop hop.

Donc, si vous ne savez pas trop où aller le 21 juin, et que vous souhaitez soutenir un p’tit groupe avec un bassiste qui rate ses lignes, un batteur qui manque ses fûts, un chanteur qui se casse facilement la voix et un guitariste qui, euh, ben, qui s’est cassé un bras une fois au ski, ben viendez par chez nous, on y sera (normalement).

Le point de rendez-vous, c’est l’Ile-Saint-Louis, plus précisément à l’intersection du Quai de Bourbon et du Quai d’Orléans, côté nord-ouest. Voici le plan avec Google Maps, et la photo aérienne avec le même service.

Mercredi 21, à partir de 19h00. Soyez-là ou soyez carré au square.

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Mon espace est petit

Temps de lecture / Reading time : 4 minutes.

Mes anciens lecteurs (whoever he is) se souviendront sûrement, une larme à l’oeil, de mes deux rapides articles sur le petit monde des blouarghz, et des croisements qu’on y fait avec la vie qu’elle est pas fausse, elle. Le syndrome sixdegrees.com, comme je l’appelais à l’époque, mais ça ne parlera pas aux plus jeunes d’entre vous, surtout si je me mets à parler d’un fameux débat cornélien et sémantique : marquer une personne comme « acquaintance » plutôt que comme « friend » ?

Bref, Sixdegrees.com est depuis longtemps tombé dans les oubliettes d’archive.org, tout comme Friendster, Orkut (sauf au Brésil), Friendset (qui devient aujourd’hui un Meetic gratos, apparemment) et tous les autres sites de comparaison de pénis web-social. Comme je l’avais lu il y a fooooort longtemps dans un Time, il y a les haves et les have-nots.

Tous ? Nooon, un petit site indépendant, peuplé d’irréductibles adolescents, résiste encore et toujours au bon goût, aux URLs signifiantes et aux standards du Web, en se justifiant d’être un havre pour les musiciens amateurs en mal de reconnaissance, pour les gothopouffes qui n’arrivaient à installer radio.blog pour jouer le dernier inédit de Craddle of Filth tout en affichant des roses rouges sur fond noir et blanc, et pour les pédophiles qui commençaient à se sentir menacés sur le Web, MSN, IRC et les newsgroups. Ce havre de paix, ce MIROIR de la société en fait, c’est MySpace (dramatic chord!). Et en fait d’être indépendant, il appartient aujourd’hui au groupe de Robert Murdoch, News Corporation, qui héberge Fox News, la 20th Century Fox ou encore… TV Breizh (gloups!). All your mp3s are belong to Robert, you fucking posers.

Bref, bref, revenons à nos moutons, c’est à dire les gens qui ont un profil MySpace, donc un peu moi en fait. Car oui, j’ai un profil MySpace. Et là, je dois expliquer pourquoi. Mmgn. Voyons voir, je l’ai ouvert le 15 décembre 2005, si j’en juge par le mail de confirmation. Deux jours plus tard, je mettais un commentaire sur le profil de Sourya, donc je me dis que ce devait être là le but premier de mon inscription : me tenir au courant des faits et gestes de ce vilain garnement, qui finira par percer.

Sur MySpace, on ne peut laisser un message sur la page d’un autre que si 1) on est inscrit, et 2) on est un « friend » de l’autre. J’ai donc ajouté Sourya à ma liste de friends, et j’ai traité celle-ci de manière assez stricte, à savoir je n’y ai mis que ceux que je connaissais vraiment. Exit donc « Tom », fondateur de MySpace et qui s’ajoute par défaut à ma liste de friends. Je fais du coup tâche avec les profils affichant fièrement 6546 z’amis, mais bon. J’ajoute en passant un groupe du même cercle d’anciennes connaissances, Soft Panic (myspace). Je n’ose pas vraiment ajouter les membres eux-mêmes, ne me considérant pas vraiment comme un « ami », mais comme une connaissance (problème récurrent, vous aurez compris).

« Accouche, Xavier ! » Oui, bon, oké, effectivement, cinq paragraphes et je n’ai toujours pas dit pourquoi mon espace était petit. Vous aurez compris entre-temps que « mon espace » désigne MySpace, hein. Sinon, c’est fait.

Mon grand ami Pierre-Antoine m’avait parlé en août 2005 du succès musical de son cousin Pierre. Ça vous fait une belle jambe, je sais, je contextualise, là, foutez-moi la paix, c’est MON blog. Bon, donc Pierrot, cousin, Pierre, musicien. Pierre Guimard, de son nom complet, a fait le bassiste pour Jean-Louis Aubert sur sa dernière tournée (je vous sens déjà plus intéressés), et se lance en solo. J’ai rapidement trouvé son site perso, bien vide mais proposant une newsletter, à laquelle je me suis inscrit. Celle-ci bouge assez peu.

En février dernier, je vais voir le site, s’il a évolué. Effectivement, il propose un lien vers le profil MySpace de Pierre, ouvert un mois avant. J’apprends par ailleurs, par sa biographie, qu’il était guitariste et compositeur du groupe Noisy Fate (membre de la Team Nowhere, personne n’est parfait), qui splitte quand leur 1er album ne connaît pas le succès escompté, et que Pierre signe à la basse pour la nouvelle tournée de Jean-Louis Aubert, donc. Il a pendant la tournée également joué de la basse avec Kyo, puis fait leur première partie, ce qui d’un point de vue professionnel est plus que respectable. Il travaille depuis sur son premier album, réalisé par Ben Kweller et avec l’assistance du bassiste et du batteur de Graham Coxon, excusez du peu. Son album, « De l’autre côté », est aujourd’hui prévu pour le 28 août 2006, et sera précédé d’une petite tournée nationale, en première partie de Raphaël (gn).

Bref, je connais Pierre Guimard pour l’avoir croisé à La Londe il y a quelques années (comme je regrette de n’avoir jamais parlé musique avec lui) : il entre donc dans mes critères de connaissances ! Je l’ajoute à mon MySpace, me renseigne un peu plus sur son univers…

Et c’est ici que le monde est petit. Voyez-vous, la bande d’où provient Sourya et Soft Panic, mes deux premiers ajouts, comporte également un photographe, Mathieu Zazzo (myspace), qui officie dans la presse musicale (entre autres), et ne refuse jamais un cliché promotionnel à ses amis. Mathieu est également guitariste pour Jérôme Attal (myspace) – ils ont eu une série de concerts encore récemment.

Et bien paf. Mathieu Zazzo fait également la plupart des dernières photos de promo de Pierre Guimard, et ce dernier est apparemment bon ami de Jérôme Attal : ils se baladent joyeusement en scooter (21/04/04 – jour de mes 27 ans, tiens) et écrivent des chansons ensemble.

Voilà, donc pour reprendre le schéma des précédents articles :

Xavier -> Pierre-Antoine -> Pierre Guimard -> Mathieu Zazzo -> Sourya

(je rajoute « -> Sourya » car je crois n’avoir malheureusement jamais parlé plus que ça avec Mathieu, hors forums Internet, et je connais mieux Sourya pour avoir failli faire partie de son groupe à l’époque – par contre, mon amoureuse a chanté du PJ Harvey accompagnée par Mathieu, ça compte ?)

Je laisse un commentaire sur le profil de Pierre, mentionnant la petitesse de MySpace. Mathieu a dû remarqué ça : il m’a envoyé le lendemain une demande comme friend, tant pour lui-même que pour Jérôme Attal. Alors, friend ou acquaintance ? Le monde bouge, les personnes changent, mais les questions qu’on se pose restent décidément les mêmes. Résultat : j’ai accepté pour Mathieu, pas pour Jérôme. ‘faut d’abord qu’au moins je les voie en concert…

Je m’arrête là ? Je ne sais pas. Je voulais faire court à l’origine…

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Magnets

Temps de lecture / Reading time : 2 minutes.

Depuis qu’on a emménagé dans cet appart’, et donc qu’on a un frigo, j’avais envie de coller des mots sur le frigo, et laisser la créativité glisser dessus. Envie et idée éhontément piquée sur le frigo de claireuh, il faut bien le dire. Vint Noël, et je pensais avoir trouvé mon bonheur avec un petit vendeur en ligne qui faisait diverses boîtes à un prix patromal, mais en définitive le mode d’achat était trop contraignant (je crois qu’il fallait envoyer un chèque, je sais pu).

Bref, lors d’une balade dans Babylone, nous sommes entrés chez WH Smith, voir un peu ce qu’ils pouvaient nous proposer comme culture anglo-saxonne. Nous tournons chacun de notre côté, quand mam’zelle revient en tenant une boîte de mots magnets – en anglais. Il se trouve qu’ils en proposent un certain nombre, et nous hésitons entre la version Enfant et la version Shakespeare.

Bon, on prend les deux.

Rentrés chez nous, nous vidons les boîtes et mettons tous les groupes de mots sur la partie basse du frigo. Les mots Shakespeare utilisent une police genre Georgia, tandis que les Enfant sont écrits avec… Comic Sans. On se retrouve avec beaucoup de mots.

Plein de mots sur mon frigo

Comme de bien entendu, le choix de mots dans chaque boîte varie largement : d’un côté des mots simples et quotidiens, de l’autre… Disons qu’ils sont plus difficiles à placer. On retrouve d’ailleurs dans ce second groupe certains mots révélateurs.

Quelques exemples de mots

Nous créons. Les deux jeux de mots se mélangent selon les besoins et les découvertes – un nouveau dialecte se créé : le Britneyspeare. Ça a rarement du sens. Ça tient de l’écriture collaborative à ce niveau là. Petit jeu : trouvez mes créations, et celles de ma tendre 🙂

Nos jolies phrases

Cela étant, la nette propension du jeu du barde qu’est mort, là, à utiliser des mots compliqués, fait qu’on se retrouve avec de nombreux mots impossibles à placer et, donc, inutiles. Parfois, la duplication des mots inutiles semble spécialement conçue pour donner des envies de meurtre, ou d’écrire sur son blog, c’est selon. Des mots sans doute sciemment placés dans le jeu pour rien.

Beaucoup de ado pour rien

J’appelle cette photo « Beaucoup de ‘ado’ pour rien« . Et j’aime à croire que je suis le seul à y avoir pensé. Gn.