Temps de lecture / Reading time : 2 minutes.J’ai toujours été mauvais en espagnol. J’étais tout fier de ma petite phrase, « je suis aussi bon en espagnol que je suis mauvais en anglais. Et je suis très bon en anglais ». Yeah.
Toujours est-il que j’étais mauvais dans cette matière, et peu enclin à vouloir progresser.
Malgré tout, pendant deux semaines de vacances dans le sud, j’ai appris par coeur un poème espagnol. Je peux le reciter encore, plusieurs années après. Je ne sais toujours pas de quoi il parle (bon, je me doute, en gros, mais dans les détails, nenni). Google-man reconnu, j’ai voulu en chercher l’orgine. En vain.
Je le connais comme cela (je fais de la phonétique, s’il y a des fautes c’est que bon hein bon):
Adios pueblo de mi huaycho (c’est le titre)
Adios pueblo de mi huaycho
publo donde yo he nacido
adios casita querida
ya me voy, ya me estoy llendo
ay, mi palomita,
ya me voy, ya me estoy llendo
hasta un zempoña llora
siento un canõ vacio
como no he de llorar yo
si me quitan lo que es mio
ay, mi palomita
ay, si me quitan lo que es mio.
Triste à en manger un clown, non ?