Pendant mes quelques pérégrinations sur Twitter, je marque en favoris les tweets que j’ai trouvé amusants, instrictifs, marquants ou pertinents. Plutôt que de leur faire prendre la poussière, je partage régulièrement cette « sélection » avec mes collègues de PrestaShop sur la slack collégial. Et, bonus, ça me fait du contenu pour le blog !
Pendant mes quelques pérégrinations sur Twitter, je marque en favoris les tweets que j’ai trouvé amusants, instrictifs, marquants ou pertinents. Plutôt que de leur faire prendre la poussière, je partage régulièrement cette « sélection » avec mes collègues de PrestaShop sur la slack collégial, avec une intro magnifique et éclairante, bien sûr… Et, bonus, ça me fait du contenu pour le blog !
Qui veut un lot de tweets favés récemment par Xavier ? Moi, moi ! Non, moi ! Moooooooooooooooiiiii !
Ok, ok, mais sinon, qui d’autre ? Xavier ? Ou Xavier peut-être ? J’ai dit moi ! Et moi aussiiiiii !
Et les autre ? …
… autreS
OUI BON CA VA.
Pendant mes quelques pérégrinations sur Twitter, je marque en favoris les tweets que j’ai trouvé amusants, instrictifs, marquants ou pertinents. Plutôt que de leur faire prendre la poussière, je partage régulièrement cette « sélection » avec mes collègues de PrestaShop sur la slack collégial. Et, bonus, ça me fait du contenu pour le blog !
Pendant mes quelques pérégrinations sur Twitter, je marque en favoris les tweets que j’ai trouvé amusants, instrictifs, marquants ou pertinents. Plutôt que de leur faire prendre la poussière, je partage régulièrement cette « sélection » avec mes collègues de PrestaShop sur la slack collégial. Et, bonus, ça me fait du contenu pour le blog !
10 tweets favorisés récemment, juste pour vous :
Extremely proud of @gnarf and everyone else who developed an *enforced* code of conduct for the jQuery Foundation: https://t.co/ADLZsY5YLN
Anita Sarkeesian est une critique média et a initié une série de vidéos, nommée « Tropes Vs Women », sur sa chaîne Feminist Frequency. Un trope est une figure de style « par laquelle un mot prend une signification autre que son sens propre ». Dans le cadre qui nous intéresse, cela décrit les conventions et dispositifs en place dans les créations (littéraires ou autres). Cette série explore donc la manière dont les femmes sont représentées dans la culture populaire. Le site TV Tropes (pardon 🙂 ) décrit les points abordés par ces vidéos.
Sa récente série « TropesVsWomen in Video Games », aborde le sujet de jeux vidéo, extrêmement sexiste (tout comme l’informatique, hélas) : les personnages féminins dans les jeux vidéos sont majoritairement secondaires, au mieux intégrées sous la forme de « dame en détresse », au pire traitées comme une pitance (parfois même sexuelle) ou la victime de la violence masculine. Les personnages principaux, comme Lara Croft dans Tomb Raider, Chell dans Portal ou Faith dans Mirror’s Edge, existent mais ne sont pas nombreux, comme le montre cette liste.
Pas forcément la tasse de thé de tout le monde, mais ce quelques réponses restent intéressantes.
À propos de la mort de Léon (la caméra qui tombe avant d’arriver à la porte) :
So the death of Leon is 72 frames per second, im holding the camera and i let myself fall on the floor. I broke my finger and the camera.
À propos de Subway, « What inspired you to use the modern (as per 1980s) setting? » :
When i was 16, i was on the platform waiting for the train and one door was slightly opened. The inscription was « forbidden to the public », so of course i pushed the door and went in. And i realized that 2/3 of the subway is forbidden, it’s gigantic. I spent all my nights discovering it, the roller, the florist, and the drummer are real characters who i have met.
À propos de l’écriture de Léon :
Regarding Leon, i had to wait 2 weeks to get an answer from a studio to know if they were going to make the fifth element or not. The wait was horrible. So i wrote Leon in 15 days and nights to stop me from thinking about the wait.
Court extrait autour du cri de ralliement « Amiga Rulez », ou la « guerre » Amiga vs. PC :
The Amiga was a computer way ahead of it’s time. It was an incredibly well built machine, very imaginative.
And for a lot of people, the PC hurt because they considered it a step back in many ways. The Amiga wasn’t a computer for the masses! That was the point, it was like the Harley-Davidson, it had an elegance to it. And then the PC came along, the mass-market machine, plastic junk with interchangable parts.
Businesswise, this was obviously a better model, but the elegance of the Amiga created a really strict culture around it; people would kill for what the Amiga means for them.