Catégories
amusant cool en passant online

Campeón del mundo !

Temps de lecture / Reading time : < 1 minute.

Découverte amusante en remontant mes referrers à l’instant.

Numéro dans Google.fr pour 'Xavier'

Ce qui vient s’ajouter à mes trophées pour Ennui, « discours témoin mariage », lost saison 2 télécharger et, euh, d’autres choses

Champomy !

m-à-j : et evangeline lilly son adresse perso msn. C’est beau les gens qui ne doutent de rien 🙂

Catégories
pas classé

« Forza Italia ! », me lance-t-il

Temps de lecture / Reading time : < 1 minute.

Je laisse mon Skype sur le mode « toujours disponible », rappel des moments passés sur ICQ à parler des inconnus complets il y a quelques années. Maintenant, les skypeurs demandent immédiatement la vidéo, mais comme il s’agit la plupart du temps de jeunes prépubères ou simplement d’inconnus complet, je ne réponds quasiment jamais.

Sauf hier soir. J’ai été abordé non pas par vidéo, mais par texte, de telle manière :

Ca commençait plutôt mal, mais la conversation s’en enchaînée de manière amusante, tandis que mon dimanche matin se laissait couler…

Catégories
cool Liens online

CreaSenso : Rouge

Temps de lecture / Reading time : < 1 minute.

Le 15 juin dernier, dans ses locaux rue de Trévise, l’agence CreaSenso, créée par mon frère Cédric, organisait un vernissage d’oeuvre de certains des artistes free-lance qu’elle représente, sous le thème « rouge ».

Illustration rouge

Outre le fait que ça change de cette période très « allez les bleus », je vous recommande d’aller jeter un cil sur le minisite créé pour ceux qui (comme moi) n’ont pas pu s’y rendre, mais veulent tout de même voir comment les artistes présents ont pu répondre à l’idée. C’est très varié, tant dans les styles que dans les idées, et ça me rappelle mon temps passé au sein de l’équipe de Praktica.

Allez-y donc de ma part, vous serez bien accueillis.

Catégories
cool critiques musiques offline

Tool, Zenith, Paris, Juin 2006

Temps de lecture / Reading time : 4 minutes.

(ça devient une habitude, je n’ai que peu de temps. Post en cours d’écriture. Update 4 : encore du texte)

Tool, donc. Ceux qui ont traîné aux abords du Zenith hier soir, ou même qui ont dîné au restaurant de la Villette, pourraient croire que je me suis rendu à un concert de Heavy Speed Thrash Death Emo Metal Core Vultures. Il n’en est rien. Tool n’a probablement de Metal que le son, le reste les met singulièrement à part dans l’arbre généalogique musical, tout d’abord par leur rythmique très complexes, leurs dissonances travaillées, et les paroles autrement plus inspirées que l’ensemble des groupes emocore ayant jamais existé. Tool, comme l’a écrit Libé récemment, c’est du Metal mental.

Haha.

Bref. Just fookin’ look at at the latest promo pictures (« Promo Shots for 10,000 Days »), and understand that their tongue-in-cheek approach to promotion makes them not your everyday « this one goes to eleven » kind of rock band.

Malgré tout, je me sentais un peu à ma place parmi cette foule bigarrée : les longs chevelus piercés, les distributeurs de flyers pour des groupes aux noms obtus et à consonances germaniques, les gothopouffes tatouées compensant les kilos en trop par le maquillage également en trop (celadi, j’aime même croisé une goth aux cheveux blonds, comme quoi Avril Lavigne peut avoir de saines influences). Et des gens comme moi – desépérement normaux dans leur accoutrement, et bien heureux de se méler à la foule.

Car pour moi, venir à ce concert était autant une question de retrouver un groupe qui sait faire vibrer, que de partager cette expérience avec une portion démographique dont, malgré tout, je me sens proche. J’ai assisté à des concerts magnifiques de Divine Comedy, Yann Tiersen ou Dolly, mais y’a pas à dire, à côté de la foule qui vient écouter Tool, les fans de ces autres groupes font un poil puceau pas vraiment rock’n’roll, le rock qui tâche, qui est sale, qui sent mauvais sous les bras mais qui ne néglige pas pour autant la petite culotte Hello Kitty à la Suicide Girl. All in all, my kinda crowd.

Je retrouve mes camarades de concert Fabrice et Frisco dans les gradins : ils ont trouvé trois places à gauche de la table à son, quasiment face à la scène, très bien. C’est plus haut que quand on été allé voir Incubus, ou même lors de notre précédent concert de Tool au même endroit, mais ça me permettra de faire des photos/vidéos d’ensemble. J’arrive super en retard, mais il n’y a même pas de première partie : c’est direct Tool qui se lance peu avant 21h. Comme toujours, ils commencent par l’instrumental du dernier album en cours, Lost Keys, qu’ils enchaînent comme sur l’album avec Rosette Stoned. Les trois instrumentistes (allez, fan de base : Adam, Danny et Justin, dis comme ça ça fait un peu Sum41 mébon) martèlent le début de ce second titre quand surgit l’ombre de Maynard sur les écrans géants, qui projette sa voix à l’aide d’un beuglophone. C’est parti.


Rosetta Stoned

Je n’ai pas encore bien écouté cet album, donc je peux juste apprécier la musique en direct, sans vraiment savoir ce qui m’attend – surtout avec Tool. Heureusement, le prochain titre est tiré de mon album que j’aime, Aenima : Stinkfist.


Tool – Stinkfist – Paris Zenith 2006

Déhanchement, headbanging, le corps se plie en deux, sourire aux lèvres. « Putain c’est boooon », crie-je à Fabrice à ma gauche, lui aussi en plein mouvement. Stinkfist, l’un des titres les plus rentre-dedans d’Aenima, résonne dans tout le Zenith. La foule hurle à plein poumon : « Not enough, I need more, nothing seems to satisfy…I don’t want it, I just need it, to breathe, to feel, to know I’m alive ». La chanson parlant un peu de commercialisation outrancière et de moutonisme capitaliste, l’ironie de la chose est amusante, mais en fait on s’en fout : on kiffe le son, man. Et c’est bon.


Tool – Stinkfist – Paris Zenith 2006

On n’a pas le temps de vraiment souffler, de se regarder le sourire aux lèvres, « c’aurait été dommage de rater ça », que déjà Justin (Chancelor, le bassiste) enchaîne, impardonnable : la ligne de Fort-Six & Two vibre sur sa basse et dans nos tympans, la piste 5 d’Aenima revient en force, Maynard susurre dans son micro, et nous emmène jusqu’au refrain : « My shadow, my shadow, change is coming through my shadow. My shadow’s shedding skin, I’ve been picking my scabs again ».


Tool – Forty-Six & Two – Paris 2006

Je reprends le mode caméra pour la montée finale, notamment le solo batterie de Danny Carey, probablement le meilleur batteur de rock actuellement. Je tiens l’appareil aussi bien que possible, mais je ne peux m’empêcher de lancer le bras gauche au l’air pour le final de la chanson, manière d’entrer complètement dans la chanson, tout en s’imaginant avoir un contrôle sur le rythme – alors que ça va plutôt dans le sens inverse.


Tool – Forty-Six & Two – Paris 2006

Voilà, j’ai déjà fait trop de film, plus de place (note pour plus tard : acheter une carte 1 Go), je dois même effacer certaines photos floues si je veux en prendre de nouvelles. Le groupe enchaîne sur Jambi, du dernier album, puis Schislm du précédent, Lateralus. On alterne la position assise et debout, selon l’intensité de la chanson.

Entre deux titre, Maynard lance quelques traits plus ou moins réussis. « I’m looking at the front row, and, we have very cool t-shirts in other colors than black, you know. Think positive », ou « I’m filthy rich today, I bet all my money on France. Sorry Spain. That was lame, I hope no one is translating this ».

Maynard semble différent de sa prestation précédente dans cette salle. Comme le note Fabrice, autant en 2001 il utilisait son corps de manière cassante, anguleuse voire robotique, autant ici il est plus proche du dandy, à croire que A Perfect Circle l’a un peu changé quand même (sans compte la coupe de cheveux). Pour les autres, Adam reste toujours un guitariste statique mais efficace (malgré quelques problèmes techniques), tandis que Justin semble apprécier au maximum le concert, balançant ses longs cheveux dans tous les sens. Danny maîtrise la rythme comme pas deux (voire comme pas 10/8), et c’est d’ailleurs amusant de voir combien les pogoteurs sont incapables de tenir la cadence de saut, les signature rythmiques de Danny cassant toute velléité en la matière.

(à suivre…)

Catégories
cool en passant musiques offline

Tool

Temps de lecture / Reading time : < 1 minute.

(non, je n’ai pas fini mon truc sur la fête de ma musique, mais juste pour dire que)

Ce soir, je traînera mes guètres du côté du Zenith, pour écouter de la musique qui prend la tête par les oreilles : Tool. Découverts via Fabrice et leur album Aenima, ils ont remit le couvert quelques années après avec Lateralus. Je n’ai pas beaucoup écouté leur petit dernier, 10,000 days, mais même s’ils semblent avoir molli du genou, j’ai hâte d’entendre à nouveau la salle vibrer au son de « 46&2 », « Sober » ou même, « Third Eye ». Yeah, I’m OGT.

Trop longtemps que je ne suis pas allé voir un concert qui fait transpirer, je suis un peu impatient, pfiouloulou…